Le petit peuple

    Les statues qui composent « le petit peuple » par de-là les formes qui s’inscrivent dans l’espace, rendent compte de la recherche de Geneviève Gallego sur le mouvement. L’artiste puise l’énergie et l ’espace à l’intérieur du matériau qu’elle travaille.

    Ses statues de bruyère et de genévrier marchent, courent, dansent, s’animent de leur vie propre, s’arrêtent au bord du geste et le retiennent. Elles incarnent le mouvement et le supposent dans l’immobile, tentant de nous donner la sensation de l’avant et de l’après, de l’impulsion première qui le génère et le transcende.